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Quelle doit être la période d’étude ?

• Les dernières années (2018 - 2023) afin d'avoir un point d'ancrage avant la crise de la Covid-19.

Pourquoi ce sujet doit-il faire l’objet d’un rapport de la Cour des comptes ou des CRTC ?

• La France est l'un des pays avec le système social le plus développé. Pour autant, le pays compte près de 9 millions de pauvres, et près de 30 000 mineurs en situation de non-logement.
• L'aggravation des inégalités et de la précarité alimentaire tend à renforcer le rôle d'accompagnement des différentes administrations sociales.
• Pour autant, il est à constater que le non-recours aux droits s'accroît. Et qu'il y a une réelle perte de vocation au sein des MDS et des CCAS, c'est-à-dire des guichets de proximité.
• La cour peut chercher à évaluer l'efficacité de la dispersion des moyens et des compétences au sein d'administrations dépendant de collectivités différentes, ainsi que les surcoûts liés au temps et aux surcoûts administratifs générés par les suivis de dossiers et la coordination nécessaire entre les travailleurs sociaux membres d'administrations différentes pour accompagner un même bénéficiaire.

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  Voici quelques points d’appui pour inspirer votre contribution :

  Que concerne mon sujet ?

  • Le sujet concerne la multiplication des guichets d'accueil de l'action sociale (CCAS, MDS, MDPH, ...) autant que la redondance et la complexité des compétences entre les différentes strates de collectivités réduisant l'accès aux droits, et les moyens afférents à chaque administration pour être réellement efficace dans leur accompagnement en direction de leurs publics cibles.

  Quelle doit être la période d’étude ?

  • Les dernières années (2018 - 2023) afin d'avoir un point d'ancrage avant la crise de la Covid-19.

  Pourquoi ce sujet doit-il faire l’objet d’un rapport de la Cour des comptes ou des CRTC ?

  • La France est l'un des pays avec le système social le plus développé. Pour autant, le pays compte près de 9 millions de pauvres, et près de 30 000 mineurs en situation de non-logement.
  • L'aggravation des inégalités et de la précarité alimentaire tend à renforcer le rôle d'accompagnement des différentes administrations sociales.
  • Pour autant, il est à constater que le non-recours aux droits s'accroît. Et qu'il y a une réelle perte de vocation au sein des MDS et des CCAS, c'est-à-dire des guichets de proximité.
  • La cour peut chercher à évaluer l'efficacité de la dispersion des moyens et des compétences au sein d'administrations dépendant de collectivités différentes, ainsi que les surcoûts liés au temps et aux surcoûts administratifs générés par les suivis de dossiers et la coordination nécessaire entre les travailleurs sociaux membres d'administrations différentes pour accompagner un même bénéficiaire.
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