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Changements sur "L’argent public destiné aux fédérations de pêche de loisir et son usage"
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1) Les fédérations de pêche de loisir et leurs AAPPMA (associations de pêche) perçoivent un financement public colossal, notamment à travers les Régions mais aussi d'autres collectivités territoriales. Bien souvent, il y a un flou sur l'usage des subventions entre d'un côté, le financement du développement du loisir pêche (qui implique de faire souffrir des animaux) et d'un autre, la \"protection des milieux aquatiques\".
Par exemple, l'empoisonnement bien souvent subventionné permet de maintenir un \"stock\" de poissons pour faire plaisir aux pêcheurs lors de l'ouverture de la pêche. Rappelons que sous la pression du lobby de la pêche de loisir, la TVA sur l'achat des poissons d'élevage destinés à l'empoissonnement a été fixé à 5,5% contrairement à l'avis de la Direction générale des Finances publiques. Cette pratique ne doit pas être confondue avec le repeuplement qui a pour but de reconstituer des populations de poissons menacées.
Soulignons que les associations de pêche ont déjà des financements en vendant le cartes de pêche. Il ne devrait donc pas y avoir de subventions destinés au loisir pêche.
Notre association PAZ a tenté d'étudier les subventions accordées par les Régions, à travers des demandes d'accès aux documents administratifs. Voici notre analyse qui se limite à la bonne foi des Régions : https://zoopolis.fr/analyse-des-subventions-regionales-accordees-a-la-peche-de-loisir/
2) Nous proposons que la période étudiée soit les 3 dernières années.
3) Nous pensons que ce sujet doit faire l’objet d’un rapport de la Cour des comptes pour éclairer correctement l'usage concret des financements publics destinés aux fédérations de pêche. Dans quelle mesure ces subventions sont versées pour servir l'intérêt général ? À quelle hauteur sont-elles destinés à servir des intérêts particuliers (la pêche de loisir) ? En ayant donc pour conséquence que l'Etat contribue à une pratique impliquant de faire souffrir des animaux.
L'argent public destiné aux fédérations de pêche n'a jamais été analysé auparavant.
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1) Les fédérations de pêche de loisir et leurs AAPPMA (associations de pêche) perçoivent un financement public colossal, notamment à travers les Régions mais aussi d'autres collectivités territoriales. Bien souvent, il y a un flou sur l'usage des subventions entre d'un côté, le financement du développement du loisir pêche (qui implique de faire souffrir des animaux) et d'un autre, la \"protection des milieux aquatiques\".
Par exemple, l'empoissonnement bien souvent subventionné permet de maintenir un \"stock\" de poissons pour faire plaisir aux pêcheurs lors de l'ouverture de la pêche. Rappelons que sous la pression du lobby de la pêche de loisir, la TVA sur l'achat des poissons d'élevage destinés à l'empoissonnement a été fixé à 5,5% contrairement à l'avis de la Direction générale des Finances publiques. Cette pratique ne doit pas être confondue avec le repeuplement qui a pour but de reconstituer des populations de poissons menacées.
Soulignons que les associations de pêche ont déjà des financements en vendant le cartes de pêche. Il ne devrait donc pas y avoir de subventions destinés au loisir pêche.
Notre association PAZ a tenté d'étudier les subventions accordées par les Régions, à travers des demandes d'accès aux documents administratifs. Voici notre analyse qui se limite à la bonne foi des Régions : https://zoopolis.fr/analyse-des-subventions-regionales-accordees-a-la-peche-de-loisir/
2) Nous proposons que la période étudiée soit les 3 dernières années.
3) Nous pensons que ce sujet doit faire l’objet d’un rapport de la Cour des comptes pour éclairer correctement l'usage concret des financements publics destinés aux fédérations de pêche. Dans quelle mesure ces subventions sont versées pour servir l'intérêt général ? À quelle hauteur sont-elles destinés à servir des intérêts particuliers (la pêche de loisir) ? En ayant donc pour conséquence que l'Etat contribue à une pratique impliquant de faire souffrir des animaux.
L'argent public destiné aux fédérations de pêche n'a jamais été analysé auparavant.
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