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Réglementations pour usage de tabac et cannabis UNIQUEMENT en tant qu'ingrédients médicaux ! Plus jamais ailleurs !
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- Si tabac et cannabis sont des drogues bel et bien reconnues comme telles, et donc soumises à des réglementations spécifiques qui varient selon les pays (quel que soit le taux de trafic) et nuisent donc gravement à la santé, il faut rappeler que ces deux végétaux sont/étaient à l'origine utilisés comme plantes médicinales dans leurs pays d'origine. Comme l'important pour distinguer un remède d'un poison, ce sont la dose ou quantité et le taux de concentration d'un même extrait végétal ou animal, il vaudrait mieux appeler à ne tolérer l'usage du tabac ET du cannabis QUE dans le cadre de recherches en laboratoires pour bien maîtriser les doses infimes à apporter pour les propriétés médicinales de chacun des deux afin de retrouver avec une sûreté sanitaire optimale l'usage de certains végétaux dans les remèdes naturels anciens (parfois dits "de grand-mères") en alternative à des molécules artificielles. Bien que je ne sache pas vraiment quel est l'état actuel des ingrédients bannis et réhabilités par les règlementations bioéthiques en matière de pharmacopée moderne (avec l'évolution des savoirs scientifiques). En tous cas, c'est pour appeler à un usage correct de ces deux végétaux en question, en partenariat avec la mise en place de la journée de lutte du 31-Mai et de chaque mois de Novembre "Moi.s sans tabac" ; pour encourager le sevrage du tabagisme et d'une lutte renforcée contre la circulation et consommation de toutes drogues plus dures. Pour la préservation la santé de tous, pour leurs économies et bien d'autres bonnes causes, afin de rendre de plus en plus efficaces l'arrêt du tabac et du cannabis à fumer dans un mélange de produits dangereux, donc pour faire peu à peu barrière à leur industrie et distribution pour une utilisation "récréative" (c'est-à-dire, sans aucun avis médical à prescrire avec toutes les précautions requises. Soit, juste comme l'on pourrait le faire avec de simples bonbons, pour tenter de se trouver un passe-temps, un calmant, une expérience, un moyen (illusoire) qui favoriserait la prise de maturité chez les jeunes...) mais qui ruinent par leurs substances nocives, et contre ces incivilités polluantes des mégots engendrés. En sachant que n'importe quel autre médicament reconnu comme tel peut devenir une drogue voire un poison s'il est mal utilisé (en sachant que "drogues" désignait autrefois tous les remèdes en général, comme au temps de Molière et de ses pièces). Donc, faisons en sorte de retirer du marché tout produit à base de tabac et de cannabis pour les virer des consommations courantes, accessibles à n'importe qui ! Pour ne les limiter qu'à la sphère médicale pour les utiliser uniquement en techniques médicinales où l'on saura les manier avec prudence et expertise pour fournir de VRAIS remèdes, en tous pays du Monde ! Et aussi pour en finir avec les drogues illicites, auprès de toutes les populations à tous niveaux, afin que les règles de Droit basée sur la bioéthique puissent aider à protéger les lieux et les ménages des plus modestes voire précaires aux plus aisés de toutes les nuisances de tabac et cannabis utilisables sans expertise. La prévention et la sensibilisation de tous dont les diverses autorités chargées de Droit sur ces nuisances sont à favoriser dans ce même enjeu, jusque sur des recherches pour savoir si tabac et cannabis bruts (donc, à partir des feuilles cueillies non transformées, donc non trafiquées) sont dignes de revenir dans des remèdes ou non.
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Alors que les néonicotinoïdes sont interdits en France et en Europe depuis 2018, le Gouvernement a accordé des dérogations provisoires en 2021 puis en 2022, pour l'utilisation de deux d'entre eux – l'imidaclopride et le thiaméthoxame pour les cultures de betterave . les concurrents commerciaux de la filière française, pourront pulvériser de l'acétamipride, un néonicotinoïde qui n'a pas été interdit par l'Europe, jusqu'en 2033.Les néonicotinoïdes perturbent l’équilibre de la biodiversité. ces substances sont très faiblement biodégradables du fait de leur action systémique. Leurs effets se prolongent dans le temps et dans l’espace agricole bien plus longtemps qu’il faudrait, empoisonnant les sols et les nappes phréatiques de façon durable. Pour les humains aussi les néonicotinoïdes sont susceptibles d'être nocifs, des études ont montré que ces substances sont pour l'homme facteurs de toxicité neurologique, perturbation endocrinienne, génotoxicité et cancérogénicité.
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