2024 - Aidez-nous à enrichir notre programme de travail
Vous pouvez participer au choix des sujets d’enquêtes.
Changements sur "Contrôle et transparence au sein de la DGCOPOP de Guyane"
Corps du texte
-
-["
- Corps de la contribution
- Depuis plusieurs mois, le positionnement ou, au contraire, le silence de la DGCOPOP de Guyane sur certains dossiers dans différentes structures ( AGAEJEF-EPNAK, Croix-rouge française, FHEJOC ) questionnent tantôt certains salariés tantôt des résidents.\nRappelons que la DGCOPOP finance plusieurs associations (la Croix-rouge française, humanity first, le samu social) qui font elles-mêmes appel à des bailleurs privés pour héberger les demandeurs d’asile.\nRappelons aussi que la DGCOPOP inclut la DIECCTE et a donc une mission de contrôle des entreprises.\nIl est donc pour le moins curieux de constater qu’une administratrice d’État telle que Madame RACON possède de manière parfois discrète des parts dans de nombreuses sociétés civiles immobilières, associée notamment avec Monsieur LAMBERT, ancien responsable du MEDEF Guyane, le tout dans un réseau complexe de sociétés.\nCela est d’autant plus curieux qu’à ces périodes Madame RACON occupe des fonctions de directrice générale adjointe chargée des entreprises, du travail, de la consommation et de la concurrence à la direction générale des populations de Guyane puis de Directrice Générale de la DGCOPOP.\n\nQuelle doit être la période d’étude ? De 2019 à ce jour\n\n\nPourquoi ce sujet doit faire l’objet d’un rapport de la Cour des Comptes ?\nLa Cour des comptes doit se saisir de cette problématique car les fonds versés sont des fonds publics.\nCette organisation soulève des questions évidentes de transparence, de déontologie et de prévention des conflits d’intérêts au sein d’une institution régalienne à la fois ordonnateur et payeur de subventions publiques.\n
-
+["
- Corps de la contribution
- Depuis plusieurs mois, le positionnement ou, au contraire, le silence de la DGCOPOP de Guyane sur certains dossiers dans différentes structures ( AGAEJEF-EPNAK, Croix-rouge française, FHEJOC ) questionnent tantôt certains salariés tantôt des résidents.\nRappelons que la DGCOPOP finance plusieurs associations (la Croix-rouge française, humanity first, le samu social) qui font elles-mêmes appel à des bailleurs privés pour héberger les demandeurs d’asile.\nRappelons aussi que la DGCOPOP inclut la DIECCTE et a donc une mission de contrôle des entreprises.\nIl est donc pour le moins curieux de constater qu’une administratrice d’État telle que Madame RACON possède de manière parfois discrète des parts dans de nombreuses sociétés civiles immobilières, associée notamment avec Monsieur LAMBERT, ancien responsable du MEDEF Guyane, le tout dans un réseau complexe de sociétés.\nCela est d’autant plus curieux qu’à ces périodes Madame RACON occupe des fonctions de directrice générale adjointe chargée des entreprises, du travail, de la consommation et de la concurrence à la direction générale des populations de Guyane puis de Directrice Générale de la DGCOPOP.\n\n\nQuelle doit être la période d’étude ? De 2019 à ce jour\n\n\nPourquoi ce sujet doit faire l’objet d’un rapport de la Cour des Comptes ?\nLa Cour des comptes doit se saisir de cette problématique car les fonds versés sont des fonds publics.\nCette organisation soulève des questions évidentes de transparence, de déontologie et de prévention des conflits d’intérêts au sein d’une institution régalienne à la fois ordonnateur et payeur de subventions publiques.\n