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Changements sur "Logements pour les jeunes"
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- Corps de la contribution
- Je veux soulever un problème dont on ne parle pas assez et qui nécessite pourtant une vraie solution.\nJe veux parler de ces jeunes qui viennent de finir leurs études, qui ont obtenu un travail et veulent se loger.\nLà, commence une vraie galère pour la plupart d’entre eux …\nBien sûr il y a des aides de l’état. Mais beaucoup de jeunes ne peuvent pas en bénéficier. Et puis il y a un manque de logements sociaux.\nRaison pour laquelle ces jeunes restent de plus en plus longtemps chez leurs parents. Ça n’était pas le cas il y a quelques années.\nAlors que s’est il passé ?\nLes prix de l’immobilier n’ont cessé d’augmenter. Les loyers ont plus ou moins suivi …\nQu’il s’agisse d’une location ou bien d’un achat immobilier, le problème est le même… le financement.\nBien sûr des garanties sont demandées par les bailleurs ou par les banques. Ce qui est normal et a toujours existé. Ce n’est donc pas là que se situe le problème.\nLa norme, on la connait. Le loyer ou le montant mensuel du remboursement du prêt ne doit pas dépasser environ un tiers du revenu. A cela il faut ajouter que depuis des années un CDI est indispensable.\nRevenons donc à la rémunération de ces jeunes et des salariés en règle générale d’ailleurs !\nLorsque les entreprises sont satisfaites de leur travail et qu’elles veulent faire évoluer les revenus de ceux ci, il n’y a que deux solutions :\nUne augmentation de salaire mais dans ce cas leurs charges augmentent de manière conséquentes.\nLa deuxième, les primes. Elle seront ajustées en fonction des résultats atteints par le personnel.\nL'avantage pour les entreprises, est qu'elles ne seront pas forcément versées l'année suivante. Tout dépendra des performances de celle ci et des employés et des cadres.\n\nEn conclusion : \nLes primes sont incontestablement la solution la plus flexible pour les entreprises pour les raisons que je viens d'invoquer.\nMais le gros problème est que d’une part cette somme d’argent versée hors salaire peut être très aléatoire et n'est donc pas prise en compte par les banques et les propriétaires bailleurs pour acquérir un logement !\nIl est des cas pourtant où ces primes sont très importantes et régulières et représentent une grosse plus-value qui ne permet pourtant pas aux jeunes en question de se loger dans les mêmes proportions.\n\nSuggestion :\nBien sûr il y a la caution parentale. Mais elle n’est pas toujours possible et elle ne durera pas éternellement.\nAlors on a besoin de créer plus de logements sociaux mais aujourd’hui la demande est telle que rien ne suit. Le décalage persiste également avec l’arrivée massive de migrants ce qui amplifie le problème.\nLe nombre de divorces est en augmentation régulière. Il participe à une plus forte demande.\nAutre suggestion : l'incitation à la décentralisation des entreprises notamment des plus grosses. Les jeunes ne sont plus contre l'idée de vivre en province. Ce serait peut-être une bonne chose de leur suggérer d'investir dans l'immobilier dont les logements seraient réservés à leurs employés avec des loyers en rapport avec leurs revenus.\nDes mesures fiscales pourraient être mises en oeuvre pour les convaincre.\nLes entreprises du bâtiment qui ont besoin de travailler particulièrement en ce moment, seraient en adéquation avec ce projet.\n\n
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- Corps de la contribution
- Je veux soulever un problème dont on ne parle pas assez et qui nécessite pourtant une vraie solution.\nJe veux parler de ces jeunes qui viennent de finir leurs études, qui ont obtenu un travail et veulent se loger.\nLà, commence une vraie galère pour la plupart d’entre eux …\nBien sûr il y a des aides de l’état. Mais beaucoup de jeunes ne peuvent pas en bénéficier. Et puis il y a un manque de logements sociaux.\nRaison pour laquelle ces jeunes restent de plus en plus longtemps chez leurs parents. Ça n’était pas le cas il y a quelques années.\nAlors que s’est il passé ?\nLes prix de l’immobilier n’ont cessé d’augmenter. Les loyers ont plus ou moins suivi …\nQu’il s’agisse d’une location ou bien d’un achat immobilier, le problème est le même… le financement.\nBien sûr des garanties sont demandées par les bailleurs ou par les banques. Ce qui est normal et a toujours existé. Ce n’est donc pas là que se situe le problème.\nLa norme, on la connait. Le loyer ou le montant mensuel du remboursement du prêt ne doit pas dépasser environ un tiers du revenu. A cela il faut ajouter que depuis des années un CDI est indispensable.\nRevenons donc à la rémunération de ces jeunes et des salariés en règle générale d’ailleurs !\nLorsque les entreprises sont satisfaites de leur travail et qu’elles veulent faire évoluer les revenus de ceux ci, il n’y a que deux solutions :\nUne augmentation de salaire mais dans ce cas leurs charges augmentent de manière conséquentes.\nLa deuxième, les primes. Elle seront ajustées en fonction des résultats atteints par le personnel.\nL'avantage pour les entreprises, est qu'elles ne seront pas forcément versées l'année suivante. Tout dépendra des performances de celle ci et des employés et des cadres.\n\nEn conclusion : \nLes primes sont incontestablement la solution la plus flexible pour les entreprises pour les raisons que je viens d'invoquer.\nMais le gros problème est que cette somme d’argent versée hors salaire peut être très aléatoire et n'est donc pas prise en compte par les banques et les propriétaires bailleurs pour acquérir un logement !\nIl est des cas pourtant où ces primes sont très importantes et régulières et représentent une grosse plus-value qui ne permet pourtant pas aux jeunes en question de se loger dans les mêmes proportions.\n\nSuggestion :\nBien sûr il y a la caution parentale. Mais elle n’est pas toujours possible et elle ne durera pas éternellement.\nAlors on a besoin de créer plus de logements sociaux mais aujourd’hui la demande est telle que rien ne suit. Le décalage persiste également avec l’arrivée massive de migrants ce qui amplifie le problème.\nLe nombre de divorces est en augmentation régulière. Il participe à une plus forte demande.\nAutre suggestion : \nl'incitation à la décentralisation des entreprises notamment des plus grosses. Les jeunes ne sont plus contre l'idée de vivre en province. \nCe serait peut-être une bonne chose de leur suggérer d'investir dans l'immobilier dont les logements seraient réservés à leurs employés avec des loyers en rapport avec leurs revenus.\nDes mesures fiscales pourraient être mises en oeuvre pour les convaincre.\nLes entreprises du bâtiment qui ont besoin de travailler particulièrement en ce moment, seraient en adéquation avec ce projet.\n\n