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Changements sur "Comparaison des coûts de revient des différents modes de transport "
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- Plusieurs modes de transport cohabitent sur le territoire national (transport routier, transport ferré, transport aérien, transport nautique, transport par câble...). Ces différents modes de transports nécessitent tous une infrastructure (route et pakings, rail et gares, canaux/chenaux de navigation et ports, aéroports...) et des vecteurs de transport (avion, navire, voiture/camion...). Leur financement, tant en matière de fonctionnement que d'investissement fait intervenir une multiplicité d'autorités et de partenaires (dont communes, EPCi-FP, départements, régions, Etat, Europe \n). Ils générnt par ailleurs des impacts tantôt positifs (accessibilité, desserte, temps de transport...), tantôt négatifs (émission de GES, consommation énergétique, bruit, pollution, l'artificialisation, emprise...) selon le mode de transport retenu. Aujourd'hui le coût total des transports (issu de l'ensemble des fonds publics, mais aussi des contributions des usagers, tout compris - infrastructure et vecteurs) n'apparaît pas clairement objectivé tout comme les avantages et inconvénients aux différentes échelles (transport local, national, international) des différents modes. A l'heure où des choix de mobilité sont en débat, alors que la réalité des crédits alloués apparaît souvent peu conforme aux annonces, un éclairage des la Cours sur ce sujet semblerait intéressant. A la différence des analyses de la Cours par organisme, un tel sujet suppose la réalisation d'analyses multi-organismes et plus thématiques.\n
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- Corps de la contribution
- Plusieurs modes de transport cohabitent sur le territoire national (transport routier, transport ferré, transport aérien, transport nautique, transport par câble...). Ces différents modes de transports nécessitent tous une infrastructure (route et parkings, rail et gares, canaux/chenaux de navigation et ports, aéroports...) et des vecteurs de transport (avion, navire, voiture/camion...). Leur financement, tant en matière de fonctionnement que d'investissement fait intervenir une multiplicité d'autorités et de partenaires (dont communes, EPCI-FP, départements, régions, Etat, Europe \n). Ils génèrent par ailleurs des impacts tantôt positifs (accessibilité, desserte, temps de transport...), tantôt négatifs (émission de GES, consommation énergétique, bruit, pollution, l'artificialisation, emprise...) selon le mode de transport retenu. Aujourd'hui le coût total des transports (issu de l'ensemble des fonds publics, mais aussi des contributions des usagers, tout compris - infrastructure et vecteurs) n'apparaît pas clairement objectivé tout comme les avantages et inconvénients aux différentes échelles (transport local, national, international) des différents modes. A l'heure où des choix de mobilité sont en débat, alors que la réalité des crédits alloués apparaît souvent peu conforme aux annonces, un éclairage des la Cour sur ce sujet semblerait intéressant. A la différence des analyses de la Cour par organisme, un tel sujet suppose la réalisation d'analyses multi-organismes et plus thématiques.\n