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Changements sur "Trafic de drogue"
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- S’il y a bien un problème qui mine un très grand nombre de pays et pas seulement en Europe mais dans le monde entier auquel la France n’échappe pas, c’est bien celui du trafic de drogue.\nBien souvent quand ce genre de souci commence à être vraiment préoccupant, c’est qu’il est présent depuis un bon moment.\nOn ne tire jamais assez des leçons du passé.\nIl y a déjà une vingtaine d’années pour ne pas dire plus, nous entendions souvent des commentaires sur ces trafics et la «petite» délinquance qui va avec : « ce sont des petites minorités, il ne faut pas généraliser».\nLes gouvernements successifs de cette époque n’ont pas fait grand chose pour éradiquer le problème. A part quelques timides tentatives avec des négociateurs chargés de moraliser les jeunes pour les inciter à rentrer dans le droit chemin. Sans succès évidement. \nDepuis est arrivé ce qui devait arrivé. Un commerce net d’impôts beaucoup trop lucratif pour qu’il ne soit pas exploité de manière exponentielle.\nQui ? Mais qui, a pu être aussi crédule pour ne pas prévoir que ce «petit» commerce allait avoir un essor aussi colossal ? Pas seulement la capitale mais toutes les grandes villes de France sont gangrenées par ce fléau. Alors que faire maintenant ?\nBien sûr la police intervient régulièrement dans les cités. Mais les trafiquants reviennent aussitôt après leur départ. Dans le meilleur des cas, ils se déplacent de quelques mètres mais rien ne change sur le fond. Alors, il faudra doubler, tripler les services de police ? Financièrement parlant , un puit sans fond.\nCertains pensent qu’il faut légaliser le cannabis. Si même c’était la solution que fait on avec les autres drogues ?\nAux Etats-unis, dans l’état du Colorado, depuis de nombreuses années toutes ces substances ont été légalisées. Résultat : un trafic parallèle subsiste. Il est moins important c’est vrai mais présent quand même. Et on voit des boutiques destinées aux jeunes où on vend des drogues «douces» sous forme de bonbons pour les inciter à consommer dès le plus jeune âge ! Scandaleux !! Conclusion : l’état en question n’a jamais été aussi riche. Les dealers ont changés de camps. Ils sont maintenant officialisés. Qu’est ce que ça a changé sur la consommation ? Rien.\nSolution :\nTant qu’il y aura des consommateurs, il y aura des trafiquants.\nEt c’est sans doute en posant le problème dans ce sens que l’on va trouver la solution.\nIl faut absolument pénaliser le consommateur. Et de manière conséquente. \n\nNe peut on pas considérer dans la mesure ou la drogue n’est pas légalisée, que le fait d’en consommer est une incitation au développement du trafic et donc à l’essor des trafiquants ? La part de responsabilité du consommateur est indissociable de celle des traficants.\nParce que nous sommes bien obligés de constater que tout ce qui a été fait jusqu’à maintenant ne résout rien sur le fond, il est temps de retourner la situation.\nC’est en tout cas mon opinion.\n\n\n
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- Corps de la contribution
- S’il y a bien un problème qui mine un très grand nombre de pays et pas seulement en Europe mais dans le monde entier auquel la France n’échappe pas, c’est bien celui du trafic de drogue.\nBien souvent quand ce genre de souci commence à être vraiment préoccupant, c’est qu’il est présent depuis un bon moment.\nOn ne tire jamais assez des leçons du passé.\nIl y a déjà une vingtaine d’années pour ne pas dire plus, nous entendions souvent des commentaires sur ces trafics et la «petite» délinquance qui va avec : « ce sont des petites minorités, il ne faut pas généraliser».\nLes gouvernements successifs de cette époque n’ont pas fait grand chose pour éradiquer le problème. A part quelques timides tentatives avec des négociateurs chargés de moraliser les jeunes pour les inciter à rentrer dans le droit chemin. Sans succès évidement. \nDepuis est arrivé ce qui devait arrivé. Un commerce net d’impôts beaucoup trop lucratif pour qu’il ne soit pas exploité de manière exponentielle.\nQui ? Mais qui, a pu être aussi crédule pour ne pas prévoir que ce «petit» commerce allait avoir un essor aussi colossal ? Pas seulement la capitale mais toutes les grandes villes de France sont gangrenées par ce fléau. Alors que faire maintenant ?\nBien sûr la police intervient régulièrement dans les cités. Mais les trafiquants reviennent aussitôt après leur départ. Dans le meilleur des cas, ils se déplacent de quelques mètres mais rien ne change sur le fond. Alors, il faudra doubler, tripler les services de police ? Financièrement parlant , un puit sans fond.\nCertains pensent qu’il faut légaliser le cannabis. Si même c’était la solution que fait on avec les autres drogues ?\nAux Etats-unis, dans l’état du Colorado, depuis de nombreuses années toutes ces substances ont été légalisées. Résultat : un trafic parallèle subsiste. Il est moins important c’est vrai mais présent quand même. Et on voit des boutiques destinées aux jeunes où on vend des drogues «douces» sous forme de bonbons pour les inciter à consommer dès le plus jeune âge ! Scandaleux !! Conclusion : l’état en question n’a jamais été aussi riche. Les dealers ont changés de camps. Ils sont maintenant officialisés. Qu’est ce que ça a changé sur la consommation ? Rien.\nSolution :\nTant qu’il y aura des consommateurs, il y aura des trafiquants.\nEt c’est sans doute en posant le problème dans ce sens que l’on va trouver la solution.\nIl faut absolument pénaliser le consommateur. Et de manière conséquente. \n\nNe peut on pas considérer dans la mesure ou la drogue n’est pas légalisée, que le fait d’en consommer est une incitation au développement du trafic et donc à l’essor des trafiquants ? La part de responsabilité du consommateur est indissociable de celle des trafiquants.\nParce que nous sommes bien obligés de constater que tout ce qui a été fait jusqu’à maintenant ne résout rien sur le fond, il est temps de retourner la situation.\nC’est en tout cas mon opinion.\n\n\n