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Changements sur "“L’efficacité et la gestion des programmes de réinsertion sociale et professionnelle des personnes détenues en France”"
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- Corps de la contribution
- Justification :\n\n\t1.\tSurpopulation carcérale et récidive : La France fait face à un problème persistant de surpopulation carcérale et de taux de récidive élevés. Un audit pourrait examiner si les programmes actuels de réinsertion (formations professionnelles, éducation, accompagnement à la sortie, aide à la recherche d’emploi, etc.) sont bien gérés et s’ils ont un impact réel sur la réinsertion des détenus et sur la prévention de la récidive.\n\n\n\t2.\tCoût des politiques de réinsertion : Ces programmes représentent un investissement important pour l’État, mais leur efficacité n’a pas été systématiquement évaluée. Un rapport pourrait analyser si ces fonds sont utilisés de manière efficiente et si les objectifs de réinsertion et de réhabilitation sont atteints.\n\n\n\t3.\tCoordination entre les acteurs : Les dispositifs de réinsertion impliquent plusieurs acteurs (administration pénitentiaire, collectivités locales, associations, services de probation, etc.). Il serait pertinent de vérifier si la coordination entre ces parties prenantes est optimale, ou si des améliorations peuvent être apportées pour une meilleure synergie et efficacité.\n\n\n\t4.\tSuivi et accompagnement post-carcéral : Un audit pourrait également évaluer la qualité du suivi des anciens détenus une fois libérés, notamment en ce qui concerne l’accès à un emploi, à un logement, ou à des services de soutien psychologique, et voir si les dispositifs actuels aident réellement à éviter la marginalisation et la récidive.\n\n\n\t5.\tImpact des dispositifs alternatifs à l’incarcération : Avec l’évolution des politiques pénales, des dispositifs alternatifs à la prison, comme les travaux d’intérêt général (TIG) ou les peines de probation, sont de plus en plus mis en avant. Un rapport de la Cour pourrait analyser l’efficacité de ces alternatives en termes de réinsertion, de coûts pour l’État, et de réduction de la récidive.