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Changements sur "Approche "une seule santé" des décisions concernant la prise en compte de la transition écologique dans l'aménagement"
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- L'approche \"une seule santé\" est la seule qui permette de coordonner les décisions à prendre, de décider de leur urgence et des moyens à leur affecter (finances et personnel). Une planification territoriale pertinente est possible dans le cadre des droits de l'urbanisme et de l'environnement mais les règles en matière de biodiversité ne sont pas connues voire volontairement ignorées des élus et des administrations territoriales.\n Il manque aussi une planification nationale qui permette de ne pas sur-densifier les métropoles déjà fort denses, où pour certaine d'entre elles les dépenses dues à une planification à courte vue sont déjà énormes.\nLa démarche ERC est peu ou pas appliquée aux SCoT et PLUi ce qui laisse à la charge des collectivités territoriales tout le poids des renaturations.\nIl y a aussi quelque chose de bizarre dans l'application des coefficients de biotope et surtout du taux de pleine terre qui apparaît toujours plus faible dans les opérations de logements collectifs que dans les zones pavillonnaires..\nIl faut promouvoir des îlots ouverts laissant le passage entre un vaste espace vert central arboré et les îlots voisins de manière à permettre la création de liens avec de petits parcs arborés (0,5 ha) situés à moins de 300m.\nJ'attire aussi l'attention sur le fait que les études faites sur les réseaux écologiques montrent que la densification d'un Territoire a des conséquences lourdes sur les Territoires voisins, la santé, le bien être et la durée de vie de leurs habitants. \nDe plus les règles européennes et leur transposition exigent l'atteinte du zéro perte nette de biodiversité d'ici 2030.\nl'APPROCHE SCIENTIFIQUE DE CES PROBLÈMES EST POSSIBLE, \nPourquoi différer leur traitement ?
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- Corps de la contribution
- L'approche \"une seule santé\" est la seule qui permette de coordonner les décisions à prendre, de décider de leur urgence et des moyens à leur affecter (finances et personnel). Une planification territoriale pertinente est possible dans le cadre des droits de l'urbanisme et de l'environnement mais les règles en matière de biodiversité ne sont pas connues voire volontairement ignorées des élus et des administrations territoriales.\n Il manque aussi une planification nationale qui permette de ne pas sur-densifier les métropoles déjà fort denses, où pour certaine d'entre elles les dépenses dues à une planification à courte vue sont déjà énormes.\nLa démarche ERC est peu ou pas appliquée aux SCoT et PLUi ce qui laisse à la charge des collectivités territoriales tout le poids des renaturations.\nIl y a aussi quelque chose qui relève de la ségrégation sociale, du point de vue de l'égalité de l'accès à la nature, dans l'application des coefficients de biotope et surtout du taux de pleine terre qui apparaît toujours plus faible dans les opérations de logements collectifs que dans les zones pavillonnaires..\nIl faut promouvoir des îlots ouverts laissant le passage entre un vaste espace vert central arboré et les îlots voisins de manière à permettre la création de liens avec de petits parcs arborés (0,5 ha) situés à moins de 300m.\nJ'attire aussi l'attention sur le fait que les études faites sur les réseaux écologiques montrent que la densification d'un Territoire a des conséquences lourdes sur les Territoires voisins, la santé, le bien être et la durée de vie de leurs habitants. \nDe plus les règles européennes et leur transposition exigent l'atteinte du zéro perte nette de biodiversité d'ici 2030.\nl'APPROCHE SCIENTIFIQUE DE CES PROBLÈMES EST POSSIBLE, \nPourquoi différer leur traitement ?