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Changements sur "Evaluation de l'impact des aides publiques à l'agriculture intensive"
Corps du texte
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- Corps de la contribution
- Dans la mesure ou l’état finance l’agriculture intensive (subventions) dont:\n 1. les pratiques polluent les sols et les nappes phréatiques par les intrants chimiques (engrais, pesticides, insecticides, herbicides)\n 2. Les engrais génèrent lors de leur production, de leur transport, le plus souvent d’importation induisent des émissions de GES et que leur utilisation libèrent du protoxyde d’azote, très puissant gaz à effet de serre. Ils dérèglent le climat \n 3. L’utilisation de ces intrants chimiques a des effets néfastes sur la santé du vivant avec à la fois un impact négatif pour les humains (donc un coût supplémentaire pour tous et sur notre système de santé) et la faune en particulier les pollinisateurs (abeilles, ..) qui affectent d’autres agriculteurs et la biodiversité \n 4. Les besoins en eau croissants réduit l’eau disponible pour les usages domestiques\n 5. La dépollution des nappes phréatiques est un coût pour la collectivité et donc tous les citoyens\n-------\nDans la mesure ou la consommation des produits issues de l’agriculture intensive:\n 1. Sont de faible valeur nutritive et entraînent des carences que notre système de santé doit ensuite compenser \n 2. Sont vendus à un prix bas qui constitue une concurrence déloyale vis à vis des agriculteurs plus respectueux de l’environnement et qui prennent soins de la biodiversité et de la qualité des sols. \n 3. Sont vendus à l’exportation à prix cassés entraînant parfois la faillite d’agriculteurs locaux dont les produits plus chers ne se vendent pas \n 4. Sont pour une bonne part transformés avec ajout de sucres, sels et autres exhausteur de goûts plus ou moins cancérigènes et consommés majoritairement par des populations pauvres qui n’ont pas conscience de «s’empoisonner» et sont plus facilement convaincus par le matraquage publicitaire\n--------\nIl me semble utile qu’une étude approfondie de la cour des comptes fasse la lumière sur:\n a) les coûts des externalités négatives générés par l’agriculture intensive\n b) les montants des subventions directes ou indirectes reçus \n c) les mécanismes qui expliquent pourquoi l’élaboration des politiques publiques agricoles est un défi au bon sens paysan depuis tant d’années \n d) des propositions qui pourraient remédier aux désordres engagées par ces politiques publiques myopes ou en silo qui s’affranchissent d’authentiques mesures d’impacts
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- Corps de la contribution
- Dans la mesure ou l’état finance l’agriculture intensive (subventions européennes et française y compris celle du gazole défiscalisé pour les engins agricoles ) dont:\n 1. les pratiques polluent les sols et les nappes phréatiques par les intrants chimiques (engrais, pesticides, insecticides, herbicides)\n 2. Les engrais génèrent lors de leur production, de leur transport, le plus souvent d’importation induisent des émissions de GES et que leur utilisation libèrent du protoxyde d’azote, très puissant gaz à effet de serre. Ils dérèglent le climat \n 3. L’utilisation de ces intrants chimiques a des effets néfastes sur la santé du vivant avec à la fois un impact négatif pour les humains (donc un coût supplémentaire pour tous et sur notre système de santé) et la faune en particulier les pollinisateurs (abeilles, ..) qui affectent d’autres agriculteurs et la biodiversité \n 4. Les besoins en eau croissants réduit l’eau disponible pour les usages domestiques\n 5. La dépollution des nappes phréatiques est un coût pour la collectivité et donc tous les citoyens\n 6. les carburants défiscalisés à la pompe encouragent la consommation d'énergie fossile émétteurs de GES au lieu d'inviter à l'économie par une compensation directes aux personnes \n---------------------------------------------------------------------------------------------------\nDans la mesure ou la consommation des produits issues de l’agriculture intensive:\n 1. Sont de faible valeur nutritive et entraînent des carences que notre système de santé doit ensuite compenser \n 2. Sont vendus à un prix bas qui constitue une concurrence déloyale vis à vis des agriculteurs plus respectueux de l’environnement et qui prennent soins de la biodiversité et de la qualité des sols. \n 3. Sont vendus à l’exportation à prix cassés entraînant parfois la faillite d’agriculteurs locaux dont les produits plus chers ne se vendent pas \n 4. Sont pour une bonne part transformés avec ajout de sucres, sels et autres exhausteur de goûts plus ou moins cancérigènes et consommés majoritairement par des populations pauvres qui n’ont pas conscience de «s’empoisonner» et sont plus facilement convaincus par le matraquage publicitaire\n------------------------------------------------------------------------------------------------------------\nUne étude approfondie de la cour des comptes pourrait mettre en lumière :\n a) les coûts des externalités négatives générés par l’agriculture intensive\n b) les montants des subventions directes ou indirectes reçus \n c) les mécanismes qui expliquent pourquoi l’élaboration des politiques publiques agricoles est un défi au bon sens paysan depuis tant d’années \n d) des propositions qui pourraient remédier aux désordres engagées par ces politiques publiques myopes ou en silo qui s’affranchissent d’authentiques mesures d’impacts