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Changements sur "Education nationale/PsyEN. Moyens financiers pour accompagner les élèves : iniquité territoriale, sociale, médicale, prise en charge du handicap"
Corps du texte
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- Corps de la contribution
- Beaucoup trop d'élèves souffrent de l'absence de psychologues de l'éducation nationale (PsyEN) dans certains établissements scolaires, en raison de la non indemnisation des frais occasionnés par les déplacements.\nL'incidence est grande pour les élèves et leur réussite.\nLes élèves ne peuvent pas obtenir de rendez-vous d'accompagnement à l'orientation • \nLes élèves n'ont pas accès à un entretien approfondi • \nLes élèves ne peuvent pas passer les bilans psychologiques obligatoires à l'adaptation de leur scolarité • \nLes élèves ne sont pas accompagnés dans des situations de grande fragilité et de détresse psychologique • \nLes élèves et les familles ne peuvent pas se déplacer à 50 km pour un rendez-vous dans un CIO.\n\nLe budget alloué aux déplacements des PsyEN ne permet pas leur intervention régulière dans les établissements publics des communes ouvrant droit à ces indemnités. Pourtant, le BO de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports n°2 du 14 janvier 2016 prévoit l'indemnisation des frais occasionnés par ces déplacements.\n\nPourquoi les élèves ne bénéficient pas tous des mêmes droits, avec la présence de professionnels dédiés, puisqu'ils ont les mêmes besoins ?\nPourquoi les établissements n'ont pas les mêmes moyens humains, alors que la santé mentale est une priorité affichée du gouvernement ?\nA quelles autres dépenses est utilisé l'argent qui doit pourtant permettre ces déplacements pour un service public dans les établissements publics du second degré ?\n\nCes différences selon les lieux où les élèves suivent leur scolarité, dans l'enseignement public, ne fait qu'accroitre l'iniquité territoriale, sociale, médicale et de prise en charge du handicap. \n
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- Corps de la contribution
- Beaucoup trop d'élèves souffrent de l'absence de psychologues de l'éducation nationale (PsyEN) dans certains établissements scolaires, en raison de la non indemnisation des frais occasionnés par les déplacements • \nL'incidence est grande pour les élèves et leur réussite • \nLes élèves ne peuvent pas obtenir de rendez-vous d'accompagnement à l'orientation • \nLes élèves n'ont pas accès à un entretien approfondi • \nLes élèves ne peuvent pas passer les bilans psychologiques obligatoires à l'adaptation de leur scolarité • \nLes élèves ne sont pas accompagnés dans des situations de grande fragilité et de détresse psychologique • \nLes élèves et les familles ne peuvent pas se déplacer à 50 km pour un rendez-vous dans un CIO • \n\nLe budget alloué aux déplacements des PsyEN ne permet pas leur intervention régulière dans les établissements publics des communes ouvrant droit à ces indemnités. Pourtant, le BO de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports n°2 du 14 janvier 2016 prévoit l'indemnisation des frais occasionnés par ces déplacements • \n\nPourquoi les élèves ne bénéficient pas tous des mêmes droits, avec la présence de professionnels dédiés, puisqu'ils ont les mêmes besoins ?\nPourquoi les établissements n'ont pas les mêmes moyens humains, alors que la santé mentale est une priorité affichée du gouvernement ?\nA quelles autres dépenses est utilisé l'argent qui doit pourtant permettre ces déplacements pour un service public dans les établissements publics du second degré ? • \n\nCes différences selon les lieux où les élèves suivent leur scolarité, dans l'enseignement public, ne fait qu'accroitre l'iniquité territoriale, sociale, médicale et de prise en charge du handicap. \n