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Je propose que vous fassiez une étude sur 10 années de la masse salariale à l'éducation nationale en distinguant les « productifs » c’est à dire tous les personnels (de vie scolaire, des administratifs dans les établissements et les professeurs DEVANT les élèves etc....) présents dans les écoles ; collèges lycées ; lycées pro ; publics puis de même pour le privé et les personnels « improductifs » (inspecteurs, professeurs qui ne sont pas devant les élèves, rectorats, inspections académiques, ministère….).\n\nPour quoi ? car il y a de plus en plus de tâches en établissement à moyens constants et de plus en plus de création de postes parmi les « improductifs ». Cela créé une souffrance au travail parmi les personnels en établissement, en effet, pour faire simple : les « improductifs » – pour justifier leur emploi - créent des taches improductives à faire par les productifs, empêchant ces derniers de se concentrer sur leurs taches productives rendant le système très improductif (résultat PISA très faible par rapport aux dépenses engagées par élève).\n\nBien sûr, il faut ramener le tout en dépense par élève pour pouvoir être comparé.\n\nAttention aux personnels AESH car ce sont de nouveaux personnels depuis quelques années qui risquent de fausser les calculs. Attention également au SNU qui prend des moyens et les « PACTES » qui sont des primes depuis 2 ans.\n\n\nAinsi, si vous démontrez cela, la préconisation serait de mettre les moyens devant les élèves, en réduisant les « improductifs » qui sont le plus souvent « hors sol » et qui devraient se contenter de gérer les mutations et les moyens en TOUTE transparence.\n\nCar dans les faits, alors qu’on peut tout savoir de l'emploi des moyens dans les EPLE(*) grâce aux procès verbaux des conseils d'administration où des parents et des personnes extérieurs siègent alors qu'on ne sait rien des clefs de répartition des moyens ventilés vers les EPLE publics et privés et les moyens conservés pour le fonctionnement propre des « improductifs ».\nCe n’est pas le cas dans les inspections académiques et dans les rectorats car il n’y a pas de compte rendu disponible pour le public ou les personnels de l’éducation nationale. Ces décisions se font de plus sans personne extérieure et sans représentant des parents donc sans grande transparence.\n\nSi nous prenons comme exemple l’inspection académique des pyrénéens atlantiques (dpt 64) et le rectorat de bordeaux\n • exemple de postes supplémentaires créés : exemples en fichiers joints\n • exemple de DGH et de masse salariale communiqué à chaque conseil d’administration d’un EPLE (dgh = dotation des moyens en professeurs exprimée en heures par semaine et non en Euros)\n • exemple de courrier syndic indiquant notre surcharge de travail en établissement\n \nBien sûr ce ne sont pas des accusations mais comme le demande votre site, une orientation sur des sujets qui méritent d’être étudiés.\n\nEnfin, vous pourriez recueillir les avis des syndicats des personnels de direction (ID-FO https://www.idfo.fr/ ; SNPDEN https://www.snpden.net ) des gestionnaires et administratifs (https://www.aeti-unsa.org/ \t\thttps://snasub.fsu.fr/)\n\nEnfin j’ai a votre disposition des documents étayant mes propos que je peux vous transmettre à un mail que vous m’indiquerez