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La politique publique autorisant les méga-bassines était assujettie à une évolution des pratiques agricoles et culturales et à un suivi garantissant cette évolution des pratiques agricoles et culturales. Cette politique était accompagnée également de mesures en faveur de la préservation de la biodiversité terrestre et aquatique et du paysage. La réalisation de ces Mega-bassines ne doit pas empêcher les nappes phréatiques de se recharger. Elles doivent être utiles à l'irrigation des tous, et pas seulement de quelques gros céréaliers. Des diagnostics et des formations sont demandées préalablement. La mise en oeuvre de cette politique vérifie t elle qu'effectivement ce ne sont pas que les gros céréaliers qui parviennent à faire ces diagnostics et ces formations préalables ? Les financements permettent ils de réaliser un suivi (moyens humains et matériels suffisants), un contrôle du respect des engagements sur l'évolution des pratiques, les volumes concernés, l'impact sur les nappes phréatiques, la biodiversité, la sécheresse, l'égalité effectives entre les agriculteurs, .... ?