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Lutte contre le désert médical
- Au début de ses études de médecin, l'étudiant s'engage à ce que à la fin ce celles-ci ;
- soit il va s'installer dans une zone de territoire imposée.
- soit il est libre de s'installer ou il veut MAIS il doit payer les frais de ses études.
- En effet il a une dette envers la nation qui finance ses études, pour "régler cette dette" il DOIT accepter d'aller dans une zone géographique en tension pendant un temps minimum (10 ans?). Il peut refuser cette affectation géographique mais en contre partie de cette "liberté" il règle au comptant une somme calculée chaque année selon des critères précis (par exemple 10.000,00EUR par année d'étude)
Cette proposition n'a pas été retenue
Bonjour,
Nous avons pris soin d’évaluer avec attention l’ensemble des contributions et nous vous remercions pour votre participation à cette démarche citoyenne.
Néanmoins, et malgré l'intérêt porté à votre contribution, elle ne peut pas être retenue dans le cadre de cette consultation car elle fait état d'une proposition de réforme. Or, la Cour des Comptes et les Chambres régionales n'ont pas vocation à élaborer directement des réformes, mais bien à émettre des recommandations à l'issue de ses enquêtes et contrôles.
Nous vous informons que dans le domaine de l'éducation et de la culture, c'est la proposition portant sur l'évaluation de la contribution de la vie étudiante et de campus qui a été retenue.
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Bonjour,
C'est le système qui est responsable de la situation pas les médecins.
J'aurais tendance à penser plutôt que c'est la "nation" qui a une dette envers les étudiants médecins : en les payant moins que le SMIC durant leurs années d'exercice de la médecine (interne/externe).
Un médecin ne peut pas s'installer où il veut...
Une telle proposition est liberticide. Pour améliorer la situation, n'avez vous pas pensé plutôt à empêcher les médecins de prendre des vacances, de partir à la retraite, de faire des enfants (un congé maternité/paternité/parental serait malvenu) ou d'avoir accès aux restaurants pour qu'ils prenent le temps du repas pour faire des consultations à domicile en zone rurale?
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