2024 - Aidez-nous à enrichir notre programme de travail

Si l’accessibilité la plus large possible est souhaitable, il s’avère absurde de l’imposer « quoi qu’il en coûte » en des lieux peu fréquentés (certains commerces, mais aussi sites) a fortiori en raisonnant pour des personnes à mobilité réduite PMR en fauteuil « musculaire », non accompagnée (pente maximale 4 %), etc. Je cite l’exemple de l’investissement de 1,5 million d’euros (ruette Mulet, à Francheville 69) pour le franchissement d’un modeste cours d’eau, au fond d’une cuvette, fond auquel de tels « aventuriers » ne peuvent accéder… A quoi on ajoute un éclairage local « progressif », en considérant que les très rares usagers n’auraient pas d’éclairage portatif, et diverses contraintes écologiques dévoyées (croisement de vélos, hébergement de chauve-souris… Une pente de 10% valable pour les fauteuils électriques ou les vélos et quelques « élagages » du cahier des charges (pas de croisement de cyclistes ou PMR) permettent de réduire coût de 30 % pour une égale satisfaction de la population.