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Empreinte numérique

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Source: {"body":{"fr":"<xml><dl class=\"decidim_awesome-custom_fields\" data-generator=\"decidim_awesome\" data-version=\"0.9.2\"><dt name=\"textarea-1724397171923-0\">Corps de la contribution</dt><dd id=\"textarea-1724397171923-0\" name=\"textarea\"><div>Justifications d'un rapport de la Cour sur ce sujet :\n\n- Contraintes budgétaires sur les comptes sociaux, posant la question de la pertinence du remboursement de certaines pratiques. \n\n- Prévalence accrue des maladies chroniques dans la population et difficultés d'accès aux soins, laissant supposer un recours encore plus important aux thérapies alternatives durant les prochaines années. \n\n- Secteur dynamique, avec apparition régulière de nouvelles pratiques et diffusion rapide (numérique notamment). \n\n- Multiples domaines d'action publique (prévention des dérives sectaires, recherche scientifique) et acteurs concernés (ordres professionnels, ministères de l'intérieur et de la justice, ministères sociaux). \n\n- Controverses régulières et récentes, notamment durant et après la crise sanitaire (apparition de nouvelles pratiques pendant les confinements, remise en cause de la science \"officielle\"). \n\n- Régulation faible ou incertaine par les services de l'Etat, et ampleur des financements indirects indéterminée. </div></dd></dl></xml>"},"title":{"fr":"Soutien public et régulation des pratiques de soins non conventionnelles par l'Etat"}}

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