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- Une famille sur quatre est une famille monoparentale selon l'Insee. Ces familles sont confrontées à des difficultés spécifiques pour équilibrer vie privée et vie professionnelle. Elles sont également plus vulnérables au risque de pauvreté. Avec 82% des familles monoparentales ayant une femme à leur tête, la monoparentalité représente également un enjeu d'égalité femmes hommes. Le but de cette étude est d'éclairer les citoyens sur les différents dispositifs existants, de comprendre la catégorie socio-professionnelle des familles monoparentales, et d'évaluer l'évolution de ces aides accordées de 2012 (1er mandat de François Hollande) à 2023 avec un focus sur la répartition de ces aides pendant le Covid.
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La quasi totalité des études sur la monoparentalité sont complètement bidon. Elles se basent sur la déclaration de revenus qui ne tiennent pas compte des avantages retirés du système socio-fiscal: allocations familiales, allocations de rentrée scolaire, tarifs avantageux à la cantine, etc... Ces avantages ne sont pas imposables donc ils n'apparaissent pas dans la déclaration de revenus. De plus dans le cas où la monoparentalité résulte d'un divorce les études ne tiennent pas compte des transferts privés tels que l'abandon d'un bien propre à la créancière ou la prestation prostitutoire payée en général par l'homme. Prestation prostitutoire et vengeresse car elle est payable dès lors qu'il y a une différence de salaires quand bien-même elle préexistait au mariage et que la divorcée peut assumer ses besoins avec sa propre paie.
Et enfin beaucoup de familles monoparentales n'en sont pas, en pratique elles vivent en concubinage afin de continuer à encaisser les aides sociales.
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