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L’impact de l’IA sur la santé publique : Optimisation des soins et réduction des coûts dans un contexte de déficit hospitalier
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- En tant qu’étudiant dans un IEP, je m’intéresse non seulement à la santé publique, mais aussi à l’émergence des nouvelles technologies et des compétences que l’intelligence artificielle (IA) apporte dans ce domaine. Ma curiosité m’amène à explorer l’impact global que l’IA peut avoir sur divers aspects, tels que la réduction des dépenses, l’optimisation des processus, et l’amélioration de la qualité des soins. De nombreux outils existent déjà pour assister les médecins dans leurs prises de décision en radiologie et en chirurgie assistée par l’IA. Le secteur de la santé traverse actuellement une période critique, tant sur le plan humain que financier, marquée par un déficit hospitalier significatif. À ce titre, les trente-deux centres hospitaliers universitaires (CHU) français ont atteint un déficit cumulé de 1,2 milliard d’euros à la fin de l’année 2023 (Le Monde, Crise de l’hôpital: le déficit des CHU a triplé en un an) C’est dans cette perspective que s’inscrit ma démarche : comprendre, analyser et interpréter les possibilités offertes par l’IA pour améliorer la qualité des soins tout en maîtrisant les coûts. Merci par avance.
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En radiologie, en dermatologie, ou encore en ophtalmologie, l’IA permet de détecter des maladies invisibles à l’œil nu et d’établir des prévisions. Elle peut aussi aider à adapter et à personnaliser les traitements. Elle est même utilisée à titre expérimental aux urgences pour orienter plus rapidement les patients L’intelligence artificielle ne remplacera jamais le diagnostic humain. Son objectif n’a jamais été de se substituer aux professionnels de santé, mais de travailler de concert avec eux. Aux urgences, l’IA est testée à titre expérimental pour imputer un degré de gravité sur les patients qui se présentent, ce qui fait gagner du temps aux infirmiers dans le tri des cas. Mais ce système aura du mal à capter les nuances que seul un œil humain peut percevoir
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