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Évaluation des coûts de prestations et de licence des outils bureautique et collaboratifs
- Corps de la contribution
- Le dernier rapport de la Cour sur la DINUM questionne notamment la pertinence de la stratégie d'outils bureautiques souverains tout en restituant des coûts utilisateurs très modéré comparé aux solutions privées, notamment américaines. Un état des lieux à 360 sur le coût annuel complet des solutions de type MS Office pour l'état permettrait d'éclairer la stratégie d'achat et les débats de dépendance souveraine. Un état des lieux sur les 3 dernières années pourra être fait. Il pourra être étendu aux autres fonctions publiques par toute méthode de projection.
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Conversation avec joseph
Vous conviendrez avec moi que, si on parle du même rapport, la CDC pointe plus dans sa synthèse et ses recommandations les changements incessant d'orientation stratégique et turnover des équipes dans les gaspillages que la simple stratégie d'investissement logiciel.
Par ailleurs, vous en connaissez beaucoup des outils bureautique souverains stable?
Moi j'utilise OpenOffice mais c'est pas vraiment souverain. Non?
Si vous utilisez OpenOffice, vous utilisez un logiciel dont la dernière version date de 2014.
Mais peut être vous référez vous à libre Office, activement maintenu ?
Le logiciel libre est un outil de souveraineté (ce n'est pas un coût nul, car il faut le maintenir), car il rend les administrations moins dépendantes de la décision de licensing de tiers privés, souvent étrangers, qui ont du mal à proposer des solutions garantissant notamment le respect des réglementations protégeant les citoyens européens.
Mettre un prix sur cette dépendance est une première étape pour se convaincre (ou non) que d'autres solutions existent. On parle sans doute de plus d'1 milliard au très bas mot versé chaque année à un éditeur américain, cela vaut le coup de l'évaluer plus finement.
OK mais ce que vous évoquez n'est qu'une goutte d'eau dans la problématique de la DINUM
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