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Impact du réchauffement climatique sur les finances des collectivités locales et de l’Etat
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- Il est admis que le réchauffement climatique provoque un certain nombre de catastrophes naturelles (épisodes de pluies violentes, coulées de boues, chutes de sérac et de glacier, montée du niveau de la mer menaçant des villes côtières, pertes d’arbres suite à des maladies/insectes/trop fortes chaleurs…) ou amplifie des phénomènes naturels préexistants (inondations « cycliques », feux de forêt, sécheresse…) En se basant sur les 10 dernières années et en se projetant dans le futur, serait-il possible d’étudier l’impact du réchauffement climatique sur les finances des collectivités locales et de l’Etat (primes d’assurance, assistance aux populations lors d’évènements climatiques intenses, reconstruction, travaux d’adaptation) ?
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Gageons que l'état, dont les collectivités locales, ne pourront pas racheter indéfiniment les maisons qui menacent de tomber dans la mer ou qui sont noyées régulièrement sous prétexte de restaurer une zone d'inondation d'utilité publique. Nous sommes déjà en déficit budgétaire grave.
Il va être temps que les propriétaires de maison assument les conséquences financières de leur mauvais choix d'implantation. Après tout, l'etat n'a pas remboursé les investisseurs dans la construction du tunnel sous la manche, ni les propriétaires d'Orpéa qui ont tout perdu suite à une catastrophe médiatique? Où est la différence?
Mais il serait effectivement intéressant que la CdC ce positionne sur le montant des dégâts à partir duquel l'état ne pourra plus intervenir.
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