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Les moyens des urgences hospitalières
- Corps de la contribution
- La preuve est rapportée que l'Agence Régionale de Santé Auvergne Rhône-Alpes se déclare incompétente pour fournir les données sur les fermetures des urgences hospitalières (avis CADA). Un rapport de contrôle de la CC avec l'appui de rapports des CRC permettraient de faire l'état de lieux et d'aider au retour de l'état de droit en matière d'accueil et traitement des urgences.
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La surcharge des urgences à l'hôpital c'est pas tellement dû au manque de personnel mais surtout au type de patient qui y entrent, trop souvent pour de la bobologie ou pour des pathologies psychiatriques.
Pour le premier cas, j'ai l'exemple de Perpignan qui a ouvert une maison médicale en sas d'entrée des urgences, qui ouvre dans la soirée et où des médecins de ville de service prennent directement en charge la bobologie, soulageant d'autant les urgence (et apaisant quelque peu le travail des équipes).
Je n'imagine pas que l'on ne puisse pas faire quelque chose d'équivalent pour la psy.
Tout est une question d'organisation.
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