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Prisons / Prisonniers
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- Nous sommes tous au courant des problèmes liés aux prisons en France. Leur nombre insuffisant engendre une surpopulation carcérale qui est difficile à gérer aussi bien par les surveillants que par les détenus eux mêmes. La construction de nouvelles prisons pourtant indispensable tarde à venir. Le budget colossal nécéssaire et le choix de l’emplacement sont les deux facteurs qui ralentissent leur réalisation. En attendant, les problèmes se multiplient. Quels sont les profiles de ce détenus ? Il y a ceux qui continuent à gérer leurs trafics divers et variés à l’extérieur de la prison. Ils les ont conservés et les gèrent avec leurs téléphones portables. On peut s’interroger sur le fait qu’une telle chose soit possible ! Puis il y a les autres qui s‘ennuient ! Ils ne savent pas comment gérer leur temps. Comment s’occuper ? Ils manquent également d’exercices physiques. Ils le dénoncent. CONCLUSION, En prison, les détenus apprennent à faire de l’argent sale. Ils finissent par connaître tous les filons. Il n’y a quasiment pas de formation, très peu de travail. A la sortie, trouver un emploie sera très difficile et donc obtenir un logement également. D’ou une récidive probable … Valery Giscard d’Estaing disait déjà : «La prison, c’est la privatisation de la liberté d’aller et venir et rien d’autre». SOLUTION : La Suède semble être un exemple à suivre. Le bracelet électronique est beaucoup plus utilisé qu’en France. Ils sont tous suivis par un agent de probation qui va les soutenir pour une réinsertion avec également un dispositif associatif. Il ya une obligation de soin pour les toxicomanes sévèrement dépendants. Il y a un suivi toutes les semaines. Ce pays a compris depuis dix ans déjà le lien entre toxicomanie et délinquance. Un travail d’utilité publique leur est imposé (6 heures par jour). Il n’est pas rémunéré. Cela peut-être aussi un travail pour une association caritative ou pour l’Etat. Dans certains cas, on y ajoute des peines d’amendes. C’est pour le délinquant la façon de payer sa dette à la société en travaillant et en se soignant en même temps. Pour conclure, le travail permet aux délinquants de se sentir utiles, avoir une certaine activité physique, rendre service à la société tout en purgeant leur peine et sortir de ce milieu carcéral néfaste.
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Ce que je voulais dire, c'est que ça existe aussi en France. Sans doute utilisé différemment. Je ne vous contredirai pas la dessus.
Ceci dit, il faudrait vraiment que vous tourniez votre thème en un sujet d'évaluation qui n'aurait pas déjà été abordé par la CdC. Sinon, il y a peu de chance qu'ils s'en saisissent.
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