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- À la tête de la plupart des foyers monoparentaux on trouve généralement la mère qui se retrouve à devoir gérer les dépenses courantes liées notamment à l'alimentation et au logement (en constante augmentation depuis quelques années), et dont le salaire est moindre que celui de son ex-compagnon. Quand elles/ils sont imposables, la pension alimentaire qu'elles/ils perçoivent devrait être déduite pour les aider à maintenir le pouvoir d'achat de leur foyer souvent bien mis à mal après une séparation. Des évaluations, propositions pourraient-elles être faites pour améliorer cette situation ? Merci.
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Je suis contre:
1- Si elle gagne moins que son ex parce que cela ne tient qu'à des différences de qualifications professionnelles qui pré-exisaient au mariage, je ne vois pas où est le problème. Si son pouvoir d'achat est mis à mal après une séparation mais que cela ne découle que de différences de qualifications professionnelles qui pré-exisaient au mariage, je ne vois pas non plus où est le problème.
Le mariage ne permet pas d'obtenir les mêmes diplômes que le mari par je ne sais quelle opération du Saint-Esprit.
2- La pension alimentaire est fiscalisée mais il est tenu compte de la présence de l'enfant dans le foyer fiscal au moyen du quotient familial. Je rappelle qu'à peu près la moitié des foyers fiscaux Français ne paient pas d'impôt sur le revenu donc, le cas échéant pas d'impôt sur la pension alimentaire perçue si le foyer a des revenus modestes.
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