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- À la tête de la plupart des foyers monoparentaux on trouve généralement la mère qui se retrouve à devoir gérer les dépenses courantes liées notamment à l'alimentation et au logement (en constante augmentation depuis quelques années), et dont le salaire est moindre que celui de son ex-compagnon. Quand elles/ils sont imposables, la pension alimentaire qu'elles/ils perçoivent devrait être déduite pour les aider à maintenir le pouvoir d'achat de leur foyer souvent bien mis à mal après une séparation. Des évaluations, propositions pourraient-elles être faites pour améliorer cette situation ? Merci.
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Je connais peu de familles monoparentales au sens réel du terme .
Dans 98 % des cas ,la séparation ou le divorce ne "supprime " pas légalement le deuxième parent .
Un enfant de parents divorcé farde ses deux parents .Les quels deux parents ont une autorité parentale conjointe .
Ce terme de "monoparental " est une forme de discrédit de l'autre parent , le plus souvent le père .
Un mot trés utilisé dans les associations féministes et repris par l'INSEE ,la presse ,un rapport du Sénat .
Il y a une fin possible à cette situation : c'est l'égalité des droits entre les parents lors d'une séparation . La "garde alternée" . Ce qui résout une grande partie de la question d'Eaubel
Les JAF (à 90% des femmes ) donnent la priorité aux femmes pour les jeunes enfants qui ne "voient " plus leur père que 20 à 30 pour cent ,et sont éloignés de leur role de père dans la vie quotidienne .
Et quand plusieurs années après le père demande "plus de temps " la Juge s'appuie sur l'état de fait " .!
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