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- Je voudrais faire passer le message suivant : Je tiens à faire lancer un appel à tou.te.s, des divers organismes et entreprises aux divers clients dont consommateurs, pour désormais laisser les un.e.s et les les autres la liberté du choix de vivre en mode "hors ligne", pour pouvoir se passer d'ondes, d'accès Internet et d'appareils du genre téléphones cellulaires (dits aussi "portables" ou "mobiles") à tour de bras. Pour tenter de lever cet esclavage technologique et permettre aux ménages et particuliers de toutes les générations de se montrer capables de se limiter à ce qui reste nécessaire à leurs besoins personnels pour les logiciels et applications. Et ce, pour tous les pays du Monde ! Bien que j'imagine que les consommateurs aujourd'hui ne sont plus forcément si dupes devant cette poussée à la consommation niveau technologies diverses, avec la contestation de plus en plus profonde de celle-ci de même que celle de l'obsolescence programmée, au profit d'une capacité de compatibilité des appareils avec des pilotes de divers logiciels sur des versions qui fonctionnaient déjà sur ceux de générations antérieures. Je tiens à avancer cet argument pertinent que j'ai lu dans un numéro du magazine du "Journal de Mickey" paru dans les années 2000, qui nous rappelle "Un téléphone (portable), c'est fait pour communiquer, pas pour s'amuser !". Voici les "mots-clés" "hashtag" que je tiens à faire passer : #Onveutpouvoirvivreenhorsligne ; #Onveutchoisirdelaisserlesappareilsetondes ; #Assezdetechnologiessuperflues!
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Le bon sens est de nos jours défini comme la raison en tant qu'elle remplit le vide laissé par la science : capacité de bien juger, sans passion, en présence de problèmes qui ne peuvent être résolus par des raisonnements scientifiques (Le petit Robert).
Le bon sens est pourtant capable de critique un contrepoids face aux excès. Au travers d'une norme acceptée, le bon sens agit comme la morale, il sert à réguler nos actions et nos pensées, l'efficace et l'inefficace, le possible et l'impossible, l'utile et l'inutile. Il tente sans doute d'éviter " Le sommeil de la raison qui engendre des monstres ".
Le problème reste de décider si nous écouterons ou non cette raison commune. Le sens commun doit toujours être en éveil et ne pas accepter de disparaître en nous invitant à la table du divin.
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