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Transparence des dépenses Santé
- Corps de la contribution
- Les gens parlent de la sante comme etant "gratuite" par erreur mais a cause de notre fonctionnement. Ils ne savent pas combien coûte vraiment le médicament qu'ils viennent d'acheter ni ce que le praticien leur a réellement facturé, juste parce que nous ne signons rien pour valider ce que nous dépensons même si la SS prend en charge a 100%. Je suggère avec une haute importance de faire signer ou valider toutes les dépenses de santé par le client lui même pour prendre conscience de notre poids dans la contribution sociale. La carte Vitale suffit a prélever n'importe quel acte une fois transmis a un infirmier ou praticien tandis que jamais les gens.ne vont aller vérifier dans leur compte. Au même titre qu'une CB avec une banque en ligne, je suggère que chaque dépense soit envoyée par sms pour validation ou prise en compte, soit via Monparcourssante, soit via la carte Vitale, mais le seul numéro de sécurité sociale suffit a rapprocher les données avec le patient. Tout comme une ordonnance prescrite par le medecin se fait via la Carte Vitale, comment n'est elle pas automatiquement récupérée dans le système d'une pharmacie des que la carte est dans le lecteur ? Non seulement l'ordonnance serait automatiquement reliée informatiquemenr au médecin et a la pharmacie prouvant sa validité, mais au moins ni les médecins ni les patients ne seraient floués (les vrais). Au moins les 75% de fraudes générées par les seuls professionnels seront un peu plus visibles.
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Bonjour, dans le domaine de l'économie de la santé "les gens" sont considérés comme des consommateurs de soins, des usagers du service de santé. Rien ne dit qu'ils seraient vraiment intéressés par les données les concernant en termes de coûts générés par leur état de santé, le traitement qui leur est prescrits, tel examen complémentaire réalisé, le recours à un spécialiste, une hospitalisation, une intervention chirurgicale, un trajet en véhicule sanitaire, une séance de kinésithérapie, un soin infirmier à domicile, une orthoprohèse etc. Il semble que l'intérêt se porte bien davantage sur la seule dépense liée au reste à charge, à un dépassement d'honoraires non remboursé, au déremboursement d'un médicament ou d'un acte jusque là remboursé (ex : déremboursement de l'injection articulaire d'une solution viscoélastique d'acide hyaluronique dans un genou atteint d'arthrose), là soudainement s'opère une prise de conscience quand il faut sortir l'argent de sa poche : une anomalie (!) Cdt
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