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Gestion régionale de des hôpitaux publics
- Corps de la contribution
- Il faut supprimer les Agences Régionales de Santé (ARS), elles fond double emploi avec les services ministériels. Leurs actions non concertés avec les collectivités locales les acteurs locaux de santé (personnels hospitaliers, médecins, pharmaciens, ambulanciers infirmier libéraux...) ne sont pas toujours favorables à la bonne répartition de l’accès aux soins. Les hôpitaux départementaux de référence devraient être assistés par des conseils départementaux paritaires. Par exemple dans le Vaucluse les conséquences de la décision de l’ARS de supprimer la chirurgie à l’hôpital d’Apt au profit de celui de Cavaillon dont le directeur par intérim et aussi directeur de l’hôpital référent d’Avignon est catastrophique pour l’égalité d’accès aux soins. Cette décision concentre toutes les activités chirurgicales publiques y compris les endoscopies dans l’ouest du département Cette suppression qui implique de fait la disparition des urgences impose aux habitants de l’est du département des trajets de minimum 45 minutes jusqu’à 1 heure trente pour les consultations chirurgicales. Cette décision n’a pas pris en compte les conséquences financières pour la sécurité sociale, de plus l’absence de bloc opératoire dans le pays d’Apt, zone touristique, est une mise en danger de la population qui double en période estivale.
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Le problème en réalité c'est la gestion catastrophique depuis des décennies du numérus clausus. Nos élus n'ont pas eu l'intelligence, la clairvoyance ou la volonté d'étudier les courbes démographiques et de constater que le vieillissement de la population nécessite plus de médecins. En fait leur objectif était de diminuer l'offre de soins pour diminuer le trou de la Sécurité Sociale. Un horrible calcul qui a conduit aux déserts médicaux que nos territoires connaissent aujourd'hui. Quand on pense qu'il y a 60 ans, nous restions une semaine à l'hôpital pour une simple opération d'appendicite et qu'aujourd'hui pour l'opération d'un cancer du sein vous restez la journée ou tout au plus une nuit si vous êtes seule à votre domicile. Il n'y avait également pas à l'époque le forfait journalier à 20 €. Que s'est-il passé ?
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