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Dépendance à l'alcool
- Corps de la contribution
- Il existe un rapport de 2016 mais une nouvelle étude serait la bienvenue car rien n'a changé. 50000 morts par an Maladies chroniques Vies dévastées Le coût de l'alcool est évident, merci de renouveler son évaluation et d'orienter les politiques publiques en conséquence. NB : dans le rapport de 2016 il est précisé "consommations nocives" : n'importe quel médecin vous apprendra que toute consommation de ce produit est nocive par essence.
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Bonjour, "n'importe quel médecin vous apprendra..." que la nocivité est établie et que les effets toxiques de l'alcool (foetotoxicité chez la femme enceinte, hépatotoxicité, neurotoxicité, cardiotoxicité, carcinogenèse...) ne sont plus à démontrer. Non plus que l'implication de la consommation d'alcool dans les violences conjugales, les rixes sur le voie publique, l'accidentologie sur les routes, les accidents de travail... mais quelle serait la politique publique de prévention qui saurait rendre abstènes, ou du moins suffisamment modérés, les consommateurs excessifs ? Un joueur au casino peut se faire interdire d'accès, mais un buveur immodéré se faire interdire d'entrée tous les établissements qui vendent de l'alcool, non. Et s'agissant de l'Etat il prélève des taxes sur les ventes, mais le montant en restera toujours en-deça de ce que coûtent les dégâts imputables à l'alcool.
dans le rapport public annuel 2025 l'addiction des jeunes à l'alcool (et autres substances) est abordée
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