2025 - Aidez-nous à enrichir notre programme de travail
Vous pouvez participer au choix des sujets d’enquêtes.
- Corps de la contribution
- Récemment RTE a été obligé d'érêter la production d'ENR car le nucléaire atteint des limites dans les baisses de charge. Cela revient à financer deux systèmes de production avec des capitaux énormes, avec un marché avec des prix négatifs ou proche de 0. Il faudrait évaluer l'impact actuel des aides et quels sont les conditions à y appliquer, pour améliorer l'efficience du système énergétique !
Signaler un contenu inapproprié
Ce contenu est-il inapproprié ?
Détails du commentaire
Vous ne voyez qu'un seul commentaire
Voir tous les commentaires
Conversation avec joseph
Non, pas d'accord. Il faut les coupler localement avec des générateurs d'hydrogène à déclencher en période de prix négatif.
hydrogène ou tout autre système de stockage / co-génération : remonter l'eau vers un barrage en amont d'un conduite forcée, turbine, stockage de chaleur dans des solutions à sel fondu, batterie ....
L'imprévisibilité touche même le nucléaire, elle se réduit avec l'IA et il faut surtout explorer un régime de résilience et non de surabondance consommatrice : oui, le consommateur peut vire bien avec une ressource pas disponible 24/7 en quantité illimitée : d'ailleurs, il est limité par son abonnement. La plupart des consommateurs peuvent décaler leurs usages si on les accompagnent, mêmes nos dirigeant ont montré la voie avec leur col roulé.
Oui, aussi bien sur pour votre première remarque.
Oui aussi sur votre seconde remarque. Par contre l'énergéticien peut difficilement anticiper dans ses investissements à long terme d'hypothétiques changements de comportement des consommateurs surtout dans une période ou on part sur une électrification générale comme source (voiture électriques, sortie des énergies fossiles pour le chauffage domestique, l'industrie, etc...).
Des solutions de stockage, quoique réalistes, sont peu évoquées, telles que les micro-step (cf. https://www.lajauneetlarouge.com/les-micro-step-stabilisateurs-de-reseaux/) ou le déploiement raisonné du V2H (Vehicle-to-Home), au statut règlementaire encore indécis, et en tout cas peu encouragé, alors même que quelques millions de véhicules électriques avec des batteries d'une cinquantaine de kWh pour des besoins quotidiens de déplacement souvent faibles représentent une réserve potentielle d'énergie qui devrait limiter considérablement la puissance à installer pour passer les pics de consommation. La question à la CC pourrait dès lors être ; est-il économiquement plus raisonnable d'investir dans les ENR et les divers moyens de stockage ou dans des EPR qu'on ne semble pas en mesure de construire correctement et dans des délais et des budgets contenus (sauf bien sûr à admettre que demain, promis, on saura faire) ?
Oui, j'ai cité une solution que je connais, mais je ne suis pas un spécialiste.
Quoiqu'il en soit, réfléchir sur le stockage est la clef pour continuer d'investir sur les ENR (même si je ne suis pas persuadé sur le modèle économique hors subvention des états) et éventuellement réduire la part du nucléaire (chez nous).
Chargement des commentaires ...