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Réorienter les subventions agricoles pour favoriser une alimentation respectueuse du climat et du bien-être animal
- Corps de la contribution
- Aujourd’hui, une part importante des aides publiques soutient l’élevage intensif, un modèle qui contribue fortement aux émissions de gaz à effet de serre, à la déforestation importée et qui engendre de grandes souffrances pour les animaux. Je propose : - La fin des subventions publiques à l’élevage intensif (animaux élevés en bâtiments fermés, sans accès à l’extérieur, dans des conditions incompatibles avec leurs besoins fondamentaux). - Un soutien renforcé aux productions végétales (légumineuses, céréales, fruits, légumes, protéines végétales locales), afin de rendre plus accessible une alimentation saine, durable et bas-carbone. Cette réorientation des aides serait cohérente avec : - Les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique fixés par la France et l’Union européenne. - Le respect croissant que notre société accorde à la sensibilité animale. - La nécessité de rendre notre système alimentaire plus résilient, plus local et plus respectueux de l’environnement.
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oui, les aides devraient majoritairement aider les pratiques vertueuses des exploitants agricoles : agriculture bio, agroforesterie, réduction des pesticides, agriculture de conservation des sols...
un malus pourrait même être appliqué en cas de mauvaises pratiques.
mais comment espérer d'abord une réforme de la PAC ? Tant qu'elle sera attribué en proportion de la quantité d'hectares de l'exploitation, elle sera fondamentalement inéquitable, d'autant plus qu'il n'est pas facile d'obtenir les DPA (dont l'attribution est totalement nébuleuse).
Les aides PAC sont attribuées sans analyse des réels besoin de l'agriculteur, et donc les plus grosses exploitations, souvent largement bénéficiaires, sont celle qui en profitent le plus, alors que nombre d'agriculteurs sont au RSA ! Elles devraient être modulées en fonction du revenu de l'agriculteur.
MIEUX : pour tous les agriculteurs aux faibles revenus, un salaire minimum pourrait être versé, qui garantirait la survie des exploitants !
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