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Evaluer les dépenses dans le secteur associatif
- Corps de la contribution
- Environ 10% des salariés du privé travaille dans le secteur associatif. En 2025 (et 2024), Les dotations pour le secteur ont diminué ce qui a eu pour effet de réduire les subventions pour les associations. En parcourant plusieurs comptes de résultat (celles qui jouent le jeu et qui les publient), j'ai pu mesurer à quel point elles étaient extrêmement dépendantes de celles-ci. Est-ce qu'il serait possible de produire un rapport sur l'état du secteur associatif et son "modèle économique" ? Par rapport à la situation actuelle de la France, si on émet l'hypothèse d'une baisse des dépenses (également préconisé déjà par la cours des comptes), il est plus que certain qu'il y aura des conséquences pour les salariés de ce secteur. De ce que j'ai pu voir, certaines associations vivent car 75% de leurs dépenses sont couverts par des subventions venant du public. Dans les 25% ce sont des prestations... qui sont offertes soit pour d'autres associations ou via appels d'offres en majeur partie venant du public. On est donc dans un système extrêmement fermé où une diminution du rôle de l'Etat peut avoir des conséquences en chaine. L'autre point est la multiplication des sources de subventions et l'opacité de celles-ci aussi bien entre les organismes que vis à vis du public. Pouvez-vous faire un état des lieux des attributions, de la transparence et des préconisations pour à la fois simplifier et rendre le système plus efficient ? PS : si vous pouviez préconiser de tout mettre soit sur data.gouv ou avoir une plateforme ouverte et avoir la possibilité d'accéder aux données via des APIs, ça serait chouette :-) Merci !
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Après, nombre d'associations sont comme des bébés devant leur biberon. Quand on le leur retire, ils pleurent.
Le niveau de subvention est tel qu'il encourage la paresse financière. Nombre de ces associations ne se posent jamais la question de leur pérennité en l'absence d'aide de la collectivité, la question de leur pérennité économique.
Après je nie pas que bon nombre d'entre elles joue un rôle utile. Mais c'est une sorte de délégation de service public qui ne dit pas son nom et surtout qui échappe aux contrôles d'une DSP. D'où les dérives nombreuses.
Alors, pour assainir la situation, il faut même se poser la question de l'interdiction progressive des subventions aux associations au profit de relation type DSP même allégée.
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