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Aides a la presse et avantage fiscaux des journalistes
Combien coutent les aides de l'Etat a la presse et combien coutent les avantages fiscaux des journalistes
Pourquoi ne les supprimons nous pas ?
Cette proposition n'a pas été retenue
Bonjour,
Nous avons pris connaissance de votre proposition avec attention. Nous vous remercions pour votre contribution à cette démarche citoyenne.
Malheureusement, nous n'avons pu sélectionner que 6 contrôles d'initiatives citoyennes couvrant l'ensemble des domaines de l'action publique, conformément à notre engagement initial. Nous avons ainsi retenu, pour le champ finances publiques, une autre proposition portant sur La détection de la fraude fiscale des particuliers. Cependant, nous vous invitons à consulter le rapport annuel 2018 de la Cour des comptes ainsi qu'un rapport sénatorial de 2021 (M. Roger Karoutchi) portant déjà sur ce sujet et qui seraient ainsi susceptibles de vous intéresser.
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4 commentaires
Les avantages fiscaux des journalistes ne se justifient pas, dans la mesure où l'ensemble de leurs frais professionnels sont pris en charge par leurs employeurs.
L'équité commande que cette niche soit supprimée.
Il est effectivement curieux de constater qu'au fur et à mesure de la baisse des ventes de journaux, ce sont des milliardaires qui ont racheté les titres, ayant pour objet de manipuler l'opinion publique.
Qu'il s'agit d'organes de propagande et que donc l'Etat n'a aucun intérêt à les subventionner.
La presse indépendante ne reçoit aucune subvention.
Il s'agit donc d'une distorsion de concurrence.
Aucune aide ne devrait être apportée à la presse ; elle devrait se rémunérer sur son lectorat et ses recettes publicitaires.
L'argent public ainsi économisé devrait en revanche être employé à fournir un service public de qualité, particulièrement télévisuel, notamment à l'égard du jeune public. La programmation aujourd'hui est lamentable et abrutissante.
Avoir un journalisme indépendant alors qu'il est soutenu par l'état c'est la même position que celle des syndicats nourris par l'état. L'indépendance financière est aussi un indépendance de pensée. Conserver des titres historiques comme des dinosaures et prôner le changement, c'est navrant. Sans doute que sans aides, nombre de supports disparaîtraient comme l'existence de toute entreprise dans le monde privé. Et de nouvelles formes verraient le jour. Mourir et naître, c'est la vie !
Il est inadmissible que les journalistes aient des avantages fiscaux si ce n'est pour être soumis à l'Etat, que les journaux reçoivent des subventions de l'Etat. On le voir depuis plusieurs années et encore plus depuis la COVID, les journalistes et les journaux sont à la botte de l'Etat qui dicte tout ce qui doit être écrit et dit. Pour un journalisme indépendant, avec de vraies investigations, non à tous ces avantages.
Hersant, Dassault, Bolloré, Pinault, etc., sont propriétaires de la plus grande part des journaux et périodiques de France, incluant radios et télévisions.
Est-ce que le bénéfice d'un taux de TVA extrêmement réduit (2,1 % aux dernières nouvelles) est d'une importance critique pour la liberté d'expression et pour la bonne santé de leurs empires industriels et financiers ?
La Cour est-elle en mesure de reconnaître des organes de presse instrumentalisés par les grands groupes capitalistes et des organes de presse indépendants, correspondant autant que possible aux préconisations du Conseil National de la Résistance (CNR) et susceptibles, à ce titre de bénéficier d'avantages fiscaux tels que la TVA réduite.
En complément se pose la question des prestations commerciales effectuées par nombre de périodiques : encarts publicitaires, services de petites annonces, publication de communiqués, etc.
Ces activités bénéficient-elles aussi de la TVA réduite et, si oui, est-ce bien raisonnable ?
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