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Agriculture intensive et pesticides
Evaluer la pertinence du modèle d'agriculture intensive et de l'usage de pesticides au regard des subventions qui lui sont allouées et des risques qu'il fait encourir pour la santé publique
Cette proposition n'a pas été retenue
Bonjour,
Nous avons pris connaissance de votre proposition avec attention. Nous vous remercions pour votre contribution à cette démarche citoyenne.
Malheureusement, nous n'avons pu sélectionner que 6 contrôles d'initiatives citoyennes couvrant l'ensemble des domaines de l'action publique, conformément à notre engagement initial. Nous avons ainsi retenu, pour le champ environnement, agriculture et mer, une autre proposition portant sur Les soutiens publics aux fédérations de chasseurs. Par ailleurs, nous vous invitons à prendre connaissance d'une publication en 2020 dans laquelle la Cour des comptes dresse un bilan des plans Écophyto qui pourrait vous intéresser. Par ailleurs, sachez que même si votre proposition n’a pas été sélectionnée, elle alimentera nos réflexions sur notre programme de travail à moyen et long terme.
Liste des soutiens
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4 commentaires
Il n'y a pas de pesticides mais des produits phytosanitaires pour arriver à produire, tout comme il y a des médicaments pour les êtres vivants. Ces produits ont des apports positifs et des inconvénients qu'il faut effectivement continuer à analyser pour faire évoluer l'agriculture sans doute vers une solution productiviste raisonnée car avec la passage radical en bio, la planète meure de faim étant donné la différence de rendement.
A noter que bio ne veut pas dire zéro traitement, il y a plus de 20 produits autorisés pour le vignoble par ex. Et le fait de moins traiter engendre des maladies et des augmentations de traitement : 60 000 tonnes de produits phytosanitaires utilisés en France dont 25% par la culture bio alors que celle ci ne représente que moins de 10% de la production.
Ceci étant totalement d'accord sur le besoin d'évaluer le risques pour la santé afin de faire évoluer l'agriculture.de façon pragmatique.
oui il est grand temps d'évaluer les risques encourus par cette agriculture dangereuse pour l'homme la nature et tout le vivant. Une étude récente confirme la présence de pesticides et herbicides dans les farines vendues en grande surfaces, tel que du glyphosate, Cyperméthrine, Deltaméthrine, piperonyl butoxide, Pirimiphos-méthyl.
On peut penserr que tous ces produits cancérogènes avérés n'ont d'autres raisons d'exister que celui d'enrichir la grande industrie chimique.
Conversation avec isaflo77
Arrêter de croire que l'on ne peut pas nourrir toute la planète avec la culture bio : c'est faux, d'autant que l'agriculture intensive a épuisé les sols qui sont de moins en moins fertils
il ne s'agit pas de croire - effectivement dès qu'on parle bio on est dans la religion de l'écologisme - mais de regarder les données objectives. Encore une fois je suis pour un examen des conséquences des produits utilisés, mais de façon dépassionnée et objective.
Concernant la production, et mes parents étaient agriculteurs, je connais assez bien, la culture du blé par ex donnait 15 quintaux à l'hectare quand la culture productiviste a permis de passer à 45 voire plus, tout en baissant les prix. Donc si on revient à une culture à peu prés traditionnelle, non seulement il va y avoir moins de production et les prix vont augmenter.
donc ceux qui sont réalistes savent trés bien que le tout bio n'est pas la solution générale, il faut une culture productiviste en culture raisonnée. Je conseille l'excellent livre : pourquoi les paysans vont sauver le monde, un état des lieux et solutions réaliste et concret, qui sort des caricatures et slogans sans fondements.
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