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Enseignements sur le changement climatique
La lutte contre le changement climatique doit être un combat de tous les instants car, comme le rappellent les derniers rapports du GIEC, nous sommes en crise.
La Cour des Comptes peut-elle évaluer en pourcentage la part des enseignements dévolus au changement climatique (ses causes, ses effets, les solutions possibles et selon quel calendrier) dans l’enseignement supérieur ? Le rapport peut aussi bien porter sur l’université que sur les prépas, les grandes écoles publiques et parapubliques, les établissements supérieurs techniques, toutes filières confondues.
Par exemple les futurs ingénieurs prennent-ils en compte le changement climatique dans leur formation ? Les futurs professionnels du tourisme sont-ils formés pour proposer des façons de voyager plus adaptées à la lutte contre le changement climatique ? Les futurs agriculteurs sont-ils formés à l’agro-écologie, aux problèmes engendrés par la déforestation ? Les futurs traders sont-ils avertis que les financements dans les énergies fossiles et les cryptomonnaies ne seront pas rentables pour la planète ? Nos futurs dirigeants ont-ils conscience de l’urgence climatique pour prendre des décisions politiques en conséquence ?
Cette proposition n'a pas été retenue
Bonjour,
Nous avons pris connaissance de votre proposition avec attention. Nous vous remercions pour votre contribution à cette démarche citoyenne.
Malheureusement, malgré l'intérêt porté à votre proposition, nous n'avons pu sélectionner que 6 contrôles d'initiatives citoyennes couvrant l'ensemble des domaines de l'action publique, conformément à notre engagement initial. Le contrôle que vous proposez est particulièrement transversal et ambitieux. Il aurait mobilisé un nombre important de chambres de la Cour alors même que, parmi les contrôles retenus, figurent d'ores et déjà deux sujets mobilisant plusieurs chambres, soit une formation inter-chambres. En revanche, nous attirons votre attention sur les travaux du Céreq relatif à l'identification et l'accompagnement des compétences de la transition écologiques et qui seraient susceptible de vous intéresser.
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Conversation avec Fontenoy
(Suite) Le professeur français Pascal Richet qui a analysé des carottes glaciaires de Vostok, retraçant les niveaux de température et de carbone sur les 420 000 dernières années, a trouvé que l’augmentation de température précédait les hausses de teneur en carbone dans l’air, et non l’inverse, ce qui peut remettre en cause l’idée du réchauffement anthropique. Un représentant du GIEC l’a aussitôt traité de « négationniste » ! Steve Koonin, conseiller d’Obama, a été mis à l’index pour avoir émis des conclusions dans le même sens.
Bonjour Fontenoy,
Si l'augmentation de température a précédé pendant 420 000 ans la hausse de teneur de carbone dans l'air cela ne remet pas en cause la possibilité que le phénomène inverse puisse être observé : pendant 420 000 ans le réchauffement anthropique n'a pas été d'actualité en effet, donc inobservable. Aujourd'hui, il en va autrement, à nous de nous adapter et de nous ouvrir à la possibilité que l'activité humaine provoque des réactions en chaîne, pas seulement observable en tant que "réchauffement climatiquee, mais en tant que "changements climatiques", impact sur la biodiversité, la qualité de l'eau, de l'air, des terres, l'acidité des océans, la fonte des glaces, la montée des eaux etc. Les rapports du GIEC sont édifiants. A quoi bon s'obstiner à chercher prouver le contraire ? On peut toujours, comme vous le faites, cela ne retardera pas le processus, seulement la prise de conscience du processus. Bon courage à vous et les vôtres dans un monde en perpétuel changement...
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