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- Il serait bon de clarifier comment sont attribuées aux associations et définir une règle précise basée entre autre sur: Quelles sont les plus values, l'apport de l'association concernés aux intérêts principaux de la France. Ceci doit pouvoir être quantifiable, mesurable et la subvention basée sur des objectifs à atteindre En ces temps de crise, il serait bon que la France soit plus "chiche" sur l'argent octroyé sans retour sur investissement. Il n'y a pas de petites économies en ces temps ou des efforts sont demandés à toutes et tous. Et si cela peut empêcher que des "parasites" vivent au frais du contribuable ce sera bénéfique.
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Conversation avec Stauri
Peut on inclure dans l'analyse les économies réalisées du fait que des missions essentielles au lien social, à la prise en charge des plus vulnérables soient assurées par des bénévoles ?
Pour 1 euros investi, quel apport pour la société ?
Pour ma part, j'ai répondu: pour 4.850 € de subventions, l'association que je préside dépense 40.000 € pour 350 bénéficiaires. En outre, cela participe à donner du pouvoir d'achat à quatre prestataires qui sinin ne vivraient que des aides sociales!
Je ne comprend pas. Si votre budget est de 40.000€ dont 12% de subventions publiques, Pourquoi ne faites vous pas l'effort de vous en passer en trouvant une ressource alternative (sponsor, entreprise partenaire dont vous ferez l'éloge, les possibilité sont multiples)?
Je vois que vous avez de bonnes idées. Je vous invite à devenir membre de notre association pour mettre en œuvre vos propositions.
Soyons sérieux, nous n'avons pas attendu pour faire appel à des sponsors. Mais que peut-on leur donner en retour sinon les remercier pour leur geste?
Croyez-vous qu'au sein du monde rural il y a beaucoup d'entreprises ayant les moyens de donner de fortes sommes, soit en don, soit en partenariat quand les retombées attendues sont quasiment nulles?
Aujourd'hui, les dons sont entre 2.500 € et 3.500 € par an; ce qui est loin d'être néglugeable.
Je suis moi même président d'association, petite certes, et qui ne fonctionne que sur les cotisations des membre. Mais j'avoue, je n'ai pas la même ambition que vous et donc les mêmes besoins de financement.
Après un sponsor, ça s'entretien, on lui fait de la pub partout où on passe. C'est ça le "retour sur investissement" (mais je suppose que vous faites déjà).
Je comprend votre position, c'est dur mais je persiste à croire que la recherche de l'autonomie financière (hors subsides publics) et la diversification des sources de revenus (quitte à adapter le périmètre d'action de l'asso) restent les seuls moyens pour pérenniser l'activité d'une association.
Le subside public peut bien sûr en faire partie mais il faut être prêt à tout moment de s'en passer (c'est plus sur de nos jours).
Subventions aux associations
Trop c'est trop: les subventions et aides matérielles diverses aux associations (mise à disposition de salles, d'équipement informatique...) ont pour but essentiel de:
-contribuer au fonctionnement d'entreprises privées liées à la famille des élus pour l'organisation d'apéritifs dînatoires permanents;
-recrutements amiables;
-favoriser le clientélisme électoral...
Que ce soit la plupart du temps du clientélisme électoral, cela ne fait aucun doute.
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