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Poids de la prise en charge des cures thermales dans les dépenses de la Sécurité Sociale
- Corps de la contribution
- Dans un contexte de rationalisation des dépenses de la Sécurité Sociale, la question de la prise en charge des cures thermales est rarement soulevée, alors que l'intérêt thérapeutique, face à des offres privées de bien-être (séances de piscine, gommage ou spas, activité physique, séjours de thalassothérapie...), reste à démontrer, à l'image de l'homéopathie il y a quelques années. Que représente donc cette dépense dans le budget de la Sécurité Sociale, pour quel bénéfice sur la thérapie ou la prévention ?
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Conversation avec Utilisateur supprimé
CONTRE
La cure thermale a son utilité réelle sur des problèmes de lombaires, canal rétréci…car elle évite durant l’année de prendre des anti- inflammatoires (avec effets secondaires) et de consulter plusieurs fois son généraliste ou spécialiste.
C’est comme tout, il y a des abus.
L’humain est ainsi. Il y a des règles, il suffit de les suivre ou de passer son tour.
Selon ressources exclusivement et pathologies et surtout format 3 semaines trop long; 10 jours au lieu de 21 jours serait plus sage!
De surcroît, en supprimant les cures thermales, ce sont des villes et régions (exemple Sud Ouest) qui en pâtissent . Les établissements thermaux, seuls employeurs dans la région; des petites mains pour la boue et autres (au SMIC- levée 4 heures du matin ( 6 jours sur 7).
Économies VERSUS perte d’emplois +++ pour une grande majorité de français qui se lèvent tôt, qui n’ont rien d’autre pour vivre; qui pointent à France Travail de Décembre à Mars, souvent propriétaires de leur maison dans les villages aux environs.
La vraie réalité humaine au delà d’idées préconçues.
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