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La Fondation IFRAP reconnue d'utilité publique bénéficie fait l'objet d'une dépense fiscale sans commune mesure avec d'autres fondations reconnues d'utilité publique à objet sanitaire ou social. La masse salariale semble surdimensionnée par rapport aux effectifs rémunérés et aux productions (articles, rapports) qui n'ont aucun caractère scientifique (pas d'évaluation par les pairs).
Cette proposition n'a pas été retenue
Bonjour,
Nous avons pris connaissance de votre proposition avec attention. Nous vous remercions pour votre contribution à cette démarche citoyenne.
Cependant, le sujet que vous soulevez n'a pas pu être retenu car il relève davantage d'un signalement individuel que d'une suggestion de contrôle et, dès lors, n'entre pas dans le champ de la consultation. Toutefois, la Cour des comptes dispose effectivement d'une compétence de contrôle de la générosité publique, au sein de sa cinquième chambre. Dès lors, sachez que votre signalement a bien été transmis à la chambre concernée et alimentera ses réflexions sur son programme de travail à moyen et long terme.
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il faut arréter ces procés d'intention, jugements de valeur, chasse aux sorcières dès lors qu'on n'est pas dans l'idéologie souhaitée. Les rapports de l'IFRAP sont documentés, chiffrés, extrêmement pertinents, tout comme les livres proposés. Si les économies et réformes proposées étaient faites, on ne serait pas dans la décadence permanente avec toutes nos caisses sociales en déficit, déficit du budget de 100 milliards, idem du commerce extérieur et notre record du monde d'impôts et charges avec les pires résultats des services publics. C'est ça qui me semble infiniment plus important que ces accusations sur les fonds de cette fondation qui n'ont rien d'anormal. Pendant ce temps le gouvernement alloue 160 000e d'indemnités forfaitaire à chaque membre du conseil constitutionnel : le détournement d'argent public en bandes organisées se poursuit car rien ne justifie cette allocation avec nos impôts. Il faut travailler sur ce qui est prioritaire et majeur.
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